« Je suis écœuré »
Des faits dénoncés par les défenseurs de la forêt et les militants anti-chasse, qui craignent pour la survie de l’espèce sur ce territoire, selon Le Parisien . « Brutus » était l’un des grands cerfs de cette forêt.
« Comme beaucoup, je suis écœuré. Quand les cerfs auront totalement disparu, ils s’amuseront à tirer sur les sangliers parce que c’est tout ce qu’il restera », a déclaré au Parisien un membre de l’association Oise Nature.
« C’est honteux »
« C’est honteux et inadmissible, bien évidemment. Car ces animaux, au-delà du côté symbolique, sont aussi à préserver pour leur rôle dans la reproduction de l’espèce », commente un photographe animalier auprès d’Actu Oise.
Dans la forêt de Laigue, il ne resterait désormais plus qu’un seul spécimen nommé « Nils », âgé de 9 ans.