Acte de cruauté envers un chien dans le Gard
Les faits se sont déroulés ce mercredi 2 novembre à Vauvert dans le Gard. Kelly, une habitante de la commune, a fait une macabre découverte. Alors qu’elle était en balade à cheval avec des amis, la jeune femme a trouvé ur chienne abandonnée. Cette dernière avait la pointe des deux oreilles coupées et agonisait au bord d’une vigne, dans un chemin de terre. A côté, un sac poubelle avec à priori des cadavres d’animaux a aussi été découvert.
#Gard : un #chien avec les deux oreilles coupées a été retrouvé près de #Vauvert par une habitante ce mercredi 2 novembre. À proximité, un sac poubelle avec des cadavres d’animaux. Prise en charge, la chienne a été sauvée in extremis. pic.twitter.com/f7H1Hr3VzP
— InfOccitanie (@infoccitanie) November 3, 2022
La chienne prise en charge dans une clinique vétérinaire
Prise en charge, la chienne était dans un état cadavérique. Elle a été transportée vers la clinique vétérinaire MEDIANIMAL à Gallargues-le-Montueux. « L’équipe de la clinique a été très attentionnée et a pris en charge la chienne dans les meilleures conditions possibles », nous confie Kelly, l’habitante qui a fait cette terrible découverte et qui a pris en charge l’animal.
HOPE adoptée et va désormais beaucoup mieux
Très touchée par cette situation, Kelly a décidé finalement d’adopter la chienne. Dans une vidéo qui nous a été transmise ce jeudi en début d’après-midi, on peut voir HOPE -son nouveau prénom- dans un bien meilleur état. La reconnaissance se lit dans ses yeux !
Kelly, l’habitante qui a sauvée la chienne, a finalement décidé de l’adopter. Désormais, HOPE (son nouveau prénom) va mieux et fait preuve de beaucoup de reconnaissance 🙏 pic.twitter.com/jM0qap6fsv
— InfOccitanie (@infoccitanie) November 3, 2022
Qui a bien pu faire ça ?
La question qui reste à ce jour sans réponse : qui a pu réaliser un acte de cruauté pareil, aussi ignoble ? Le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.