La glace Ricard est de retour à Dolcezza Nîmes, à l’occasion de la feria uniquement ! « Elle fonctionne bien, mais à consommer avec modération. C’est comme au bar… », conseille le co-fondateur, Simon Vilaret. Pour cette 10e saison haute, environ une dizaine de salariés s’affaire au comptoir pour satisfaire les nombreux clients. En pleine effervescence de la feria de Nîmes, les familles défilent chez le glacier nîmois qui a su construire une solide renommée au fil de l’eau.
Dix ans d’une aventure passionnée
Les ingrédients du succès ? « La vraie glace italienne, l’authenticité, l’absence d’œuf qui est un allergène, l’onctuosité, une vraie recherche sur les parfums… », liste Simon Vilaret qui s’est formé jusqu’à la maison mère, dans une école italienne. Au-delà du goût, la Dolcezza mise sur la convivialité, le sourire franc dès l’accueil, le tissu de connaissances nouées au gré des années dans la cité des Antonin.
Parfum et texture
« Compte tenu de l’affluence aux Jeux romains, je pense qu’on aura beaucoup de monde pendant cette feria, on va bien travailler », espère le chef d’entreprise. Les glaces qui se vendent comme des petits pains ? « La spécialité romaine que l’on fait depuis six ans, à base d’amandes bios et fraiches du plateau de Valensole, d’un sirop d’amandes amères naturelles, d’un coulis de figues caramélisées et d’un zest d’orange », égrène notre hôte. La vanille classique fait toujours son effet, une valeur sûre. « Cette année, la pistache se vend aussi très bien, en raison de la mode du chocolat de Dubaï. On a l’impression que les gens découvrent la pistache… », ironise Simon Vilaret.
Foin de Camargue, sésame noir, ananas piment…
Les pâtes de pistache et de noisette sont faites maison, à l’aide d’une machine acquise récemment. « Les noisettes viennent du Piémont, les pistaches de Sicile », précise le gérant. Pour les plus désireux d’aventures, il est possible d’opter pour les glaces ananas piment d’Espelette ; foin de Camargue ; menthe poivrée Penja du Cameroun ou sésame noir… « Je vais tenter la tomate basilic, elle a très bien fonctionné pour un mariage. Pourquoi pas essayer abricot romarin… », propose le passionné. Les fruits proviennent en majorité du terroir, plus précisément du Mas des agriculteurs à Nîmes. Dolcezza ravit les papilles lors d’évènements privés, à bord d’un triporteur. De quoi rafraichir nos rendez-vous de l’été… Plus d’informations sur leur site internet, ici. Suivez les actualités de Dolcezza sur Instagram. Vidéo ci-après :